- Publié le
- Par Monsieur T.
Le soleil brille, les oiseaux chantent, la journée qui commence vous donne envie de quitter la maison pour reconnecter avec la nature ?
À vos souliers de marche et à vos sacs à dos, puisqu’on ne saurait prendre la clé des champs — ou des bois — sans s’assurer d’être bien chaussé et paré à toute éventualité.
Que vous soyez une randonneuse aguerrie ou un promeneur avide de calme et de beauté, mieux vaut se lancer en forêt avec quelques essentiels. Ils vous assureront d’être confortable et en sécurité et ce, peu importe la météo.
Comme nos thés, les types de randonnées s’accordent à tous les tempéraments. Nous vous avons préparé un petit guide sans prétention des accords sentiers – personnalités.
Le but : vous inspirer, en vous faisant découvrir des trajets incontournables ou méconnus. Pour une expérience qui sollicite tous les sens, vous pouvez même emporter un thé de circonstance, en consultant nos sélections.
À chacun son sentier
C’est prouvé : l’activité physique en plein air réduit le stress. Mais si vous êtes déjà naturellement détendu, mieux vaut préserver ce bel état en choisissant un parcours pas trop fréquenté, avec peu de dénivelé et un cours d’eau à proximité.
On vous suggère Les Cascades, une boucle de 4 km qui suit un ruisseau du Parc national de la Jacques-Cartier. Comme elle est accessible à l’année, elle est souvent délaissée pendant l’été au profit de sentiers qui sont ouverts seulement de juin à septembre. Paix assurée !
Pour un authentique dépaysement, qui nourrit autant votre corps que votre esprit, rien de mieux que d’allier art et nature.
Deux destinations de choix charmeront les férus de sculptures et de verdure cet été. En ville, les Mosaïcultures se tiendront du 24 juin au 10 octobre pour la première fois à Québec, au parc du Bois-de-Coulonge. Une promenade élégante, égayée par six millions de fleurs et de plantes !
Dans le Bas-Saint-Laurent, les Jardins de Métis demeurent une destination incontournable pour découvrir les propositions des artistes et des architectes paysagers dans un vaste domaine à faire rêver.
La forêt regorge de ressources alimentaires insoupçonnées qui attisent l’intérêt de plus en plus d’adeptes. Au Massif du Sud, à Saint-Philémon, on propose un atelier dédié à l’identification, la cueillette, la conservation et la cuisine des plantes comestibles.
Plus de 35 arrêts gourmands — restaurants, boutiques, producteurs — sont aussi identifiés dans la région de la Chaudière-Appalaches. Ils valent le détour, tout en permettant de se récompenser après l’effort.
Même les festivaliers les plus enthousiastes ont parfois besoin de s’isoler des foules et de faire provision de silence.
Si vous assistez au Festif ! , le sympathique rendez-vous musical de Baie-Saint-Paul, à la fin juillet, pourquoi ne pas en profiter pour aller vous balader au Parc national des Grands-Jardins?
Entre le court sentier De La Tour qui permet d’observer le lac Arthabaska et Le Pioui qui mène le randonneur sur les crêtes après une ascension soutenue, plusieurs options s’offrent aux visiteurs.
Les vrais de vrais, qui n’ont pas peur de s’équiper d’une tente, de repas déshydratés et vêtements de rechange, goûtent les plaisirs des expéditions qui s’étendent sur plusieurs jours.
Parfait pour s’initier à la chose, La randonnée des Pics, dans le Parc national des Monts-Valin, permet de parcourir 22 km en passant 1 à 3 nuit(s) dans des refuges.
Le Sentier des Caps, dans Charlevoix, est aussi un bel endroit pour faire des randonnées sur mesure. La plus longue peut durer jusqu’à 6 jours et s’étend sur 51 km, de Cap Tourmente à Petite-Rivière-St-François.
Alors, quel sentier emprunterez-vous cet été?