- Publié le
- Par Monsieur T.
Entre la finale de la Coupe Rogers et la course folle de la rentrée, on relaxe en buvant un thé, plongés dans un bon bouquin bien de chez nous. En août, on prend un thé avec…
Serena Williams
La machine de tennis Serena Williams a été contrainte d’abandonner la finale de la Coupe Rogers après 19 minutes, dimanche dernier, en raison de spasmes au dos. Un moment émouvant, alors que la 10e meilleure joueuse au monde pleurait sur le banc, amèrement déçue. La vainqueuse, la jeune Ontarienne de 19 ans Bianca Andreescu, a fait preuve d’un bel esprit sportif en allant la consoler, un geste apprécié de Williams, qui a ensuite témoigné son admiration pour son adversaire. Pour aider l’Américaine à avaler cet échec et à retrouver la forme, on lui prescrit une tasse de notre tisane Docteur Gingembre, trois fois par jour.
Les parents
Ils sont déjà plongés dans les achats de crayons-feutres pointe large et de duo-tangs trois attaches, se font bombarder de recettes pour réinventer les lunchs et gagner du temps les soirs de semaine, stressent à l’approche de la fin des camps de jour qui les obligera à réquisitionner les services des grands-parents ou des voisins pour garder leur progéniture en attendant le début des classes… Le mois d’août, pour les parents, c’est loin d’être relax. Vite, un Fleur des moines pour faire baisser la tension et leur rappeler que l’été n’est pas terminé!
Un livre québécois
Bon, d’accord, ce n’est pas une personne, mais on peut très bien prendre un thé avec un livre, non? C’est d’ailleurs un excellent accord, un peu comme daïquiri-piscine. Ça tombe bien, le 12 août, c’était la journée J’achète un livre québécois, une initiative qu’on peut évidemment étirer sur toute la semaine, le mois ou l’année. Pourquoi ne pas en profiter pour découvrir un jeune auteur à l’univers décalé, comme Jean-Christophe Réhel, Christiane Vadnais ou Jean-Philippe Baril-Guérard? Des œuvres à savourer lentement avec notre étonnant Magie verte qui a, entre autres vertus, celle de très peu tacher les pages des lecteurs maladroits.